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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 09:14
C'est quoi ca?

C'est le compost pour les flemmardes qui comme moi on pas envie d'aller au fond du jardin en hiver (j'ai froid moi)

Ou si on a pas de jardin LOL

Les petits zanimaux:


Il existe dans la nature beaucoup d'espèces de vers de terre. Seules quelques-unes peuvent être mises dans la compostière.


Les gros vers de terre que nous trouvons au jardin (surtout en bêchant) ne sont pas utilisables pour le compostage. Ce sont des laboureurs du sol qui vivent généralement à plus de 20cm de
profondeur.


Les lombrics de compost sont des vers de surface qui se trouvent à maximum 10cm. De ce fait, soumis à une forte prédation, ils se reproduisent très vite et se nourrissent de matière décomposée
(ex. litière de bois).


La décomposition de la matière organique sera principalement confiée à 2 espèces de vers:



Eisenia foetida :

Eisenia endreï :

c'est le "ver du fumier". Rouge tigré de gris ou de jaune, ils préfèrent les matières en décomposition. On l'appelle aussi "ver tigré". c'est le "ver de Californie".
De couleur très rouge, ils préfèrent quant à eux les matières fraîches. On l'appelle aussi "ver rouge".



 N'ayant pas les mêmes mœurs, l'idéal étant d'avoir des représentants des 2 espèces dans sa compostière...


Les lombrics sont gloutons, ils mangent entre 1/2 et 1 fois leur poids par jour !
Cela dépend essentiellement des conditions de vie du vers. Ils aiment être au calme et à l'obscurité. Le température doit avoisiner les 20°C (entre 15 et 25°C, ils se sentent bien).


Il se reproduisent également beaucoup. Un seul lombric peut avoir sans problème une famille de 500 descendants en un an !


Bon pas question de cohabiter dans le salon, ils ont une petite maison, MDR.



Bon ca c'est la version luxe total plastoc pas très écolo, avec les liens ici vous pouvez vous en faire une plus écolo en recyclage, la customiser si vous voulez qu'elle soit jolie et surtout
apprendre a bien soigner vos petits serviteurs.

Comment ca marche et comment faire?

http://nimasadi.kiosq.info/article.php3?id_article=31

http://www.verslaterre.fr/ (un forum pour échanger infos mais aussi les petits zanimaux)


fabriquer une lombricompostière


lombriculture et compostage en intérieur


 


 



laisser les vers travailler pour vous
http://membre.megaquebec.net/pauldrouin/recherche/
une page de liens utiles sur le lombricompostage.



le lombricompostage
http://users.swing.be/compost/Main_Lombric.htm
le lombricompostage avec des photos des différents types de compostières.



veille aux vers
http://www.naturewatch.ca/francais/wormwatch/
un site consacré aux vers de terre.

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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 08:04
Ce dimanche, il fait beau, j'ai envie de faire un tour sur une brocante hebdomadaire proche de chez moi.
Mais (il y a toujours un mais) j'ai pas vraiment le temps ce matin, pas de chauffeur (je conduis pas) car hom doit travailler, bébé doit faire sa sieste....bon j'ai compris pas de sortie brocante cette semaine.

Pour me remettre de ma frustation, direction le grenier, depuis un moment j'ai un vieux miroir dans son jus que j'aimerai remettre à mon style.


Je vous montre comment j'ai fait.



Il me reste a remettre une chainette au dos et direction le mur de mon salon.
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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 11:32

A Yseult, ta naissance.


 


Même si tu es venue ensoleiller nos jours le mardi 03 février 2009,
les choses commencent un peu avant.


 


Samedi 31 janvier, date prévue de ta naissance selon la date de ta
conception.


C’est le dernier jour des soldes, j’ai promis à ta sœur encore un
peu cadette, de l’emmener au magasin de sport, donc nous voici en route pour les courses, après un passage au marché afin de faire le plein de fruits en vue de l’accouchement, nous prenons avec
ton papa le chemin des magasins, ta sœur ne se sent pas bien, faible et grippée nous rentrons donc rapidement à la maison, après plusieurs heures de repos, elle a retrouvé des
forces.


Tous trois décidons d’aller souper au restaurant afin de m’épargner
la préparation du repas. Je mange réellement pour deux, histoire de prendre des forces.


La soirée se passe calmement, pas le moindre signe de ton
arrivée.


Je me couche donc avec l’idée que nous devrons encore t’attendre
quelques jours.


 


Le dimanche 01 se passe dans le calme, ta sœur étant maintenant
vraiment fortement accablée par la grippe. Pour ma part, je me sens extrêmement fatiguée, ce que j’attribue à la fin de grossesse.


Dans la soirée, je fais remarquer à ton papa qu’un accouchement
avec une grippe comme a ta sœur, ca doit vraiment être très difficile. Je croise les doigts de ne pas l’attraper.


Mais de la nuit, entre quinte de toux et fatigue, je comprends fort
vite que les microbes sont bien là.


 


Le lundi 02 fut un jour très long entre maux de la grippe et
étouffement durant la toux, je n’ai pas eu la force de quitter le canapé de la journée.


Je pense énormément à toi, à ta venue, je suis impatiente de te
rencontrer et un peu inquiète que ces microbes puissent te nuire in-utéro.


Je suis loin de penser que tu vas venir si rapidement cette
nuit.


 


Nuit du lundi 02 au mardi 03, 2h41 je suis réveillée par une quinte
de toux et une furieuse envie d’uriner, le tout dans un état second de grande fatigue.


Je suis tellement mal de la grippe que je ne fais pas la différence
entre les courbatures et la petite contraction dans les reins qui devrait m’alerter.


Je me recouche et retombe endormie en quelques minutes mais pour
bien peu de temps, à peine 10 minutes de sommeil et me voici avec une fois de plus cette douleur lourde dans le bas du dos, c’est à ce moment que je prends conscience que si cela se répète, on
devrait bientôt enfin faire connaissance. Je profite du calme de la nuit pour te parler encore un peu au creux de moi.


Et voici que 8 minutes après une autre de ces contractions bien peu
ordinaires pour moi car je ne ressens vraiment rien dans le ventre vient encore plus me conforter dans l’idée que c’est le grand jour.


La suivante viendra de nouveau à 8 minutes, elle est plus intense
et m’oblige à me lever, la position couchée me devient insupportable de par la douleur et pour respirer.


Deux autres contractions similaires se suivront avec le même
timing, mais une fois 3h30, les choses vont s’accélérer rapidement et une demi-heure me voici avec des contractions toujours dans le dos sans sensations au niveau du ventre mais qui se suivent
toutes les 3 à 5 minutes.


Nous sommes encore pour un petit moment rien que nous deux dans le
secret de ton arrivée.


 


Les contractions en appui sur la table du salon sont gérables en
roulant bien des hanches, après avoir été allumé le chauffage de la salle de bain en vue d’une douche rapide, mis en route le café pour ton papa, je décide d’attendre 4h00 pour l’éveiller afin
qu’il se repose encore un peu avant ce que je pense être une matinée chargée d’émotion, je suis convaincue que plusieurs longues heures nous séparent encore de ta naissance.


 


Tout en remuant mes hanches toujours en appui sur la table du
salon, la demi-heure qu’il restait à ton papa de sommeil est passée, tout doucement, je lui dis qu’il est temps de se lever, lui convaincu qu’il est 6h00 et que je le réveille pour aller
travailler prend son temps, n’ouvre pas les yeux, je prononce donc la phrase qui va le sortir rapidement du lit : « Il faut se lever, c’est aujourd’hui que je vais accoucher » et
l’effet est immédiat.


 


On parle un peu, je lui dis que je vais prendre ma douche tant
qu’il boit son café et qu’ensuite on téléphonera à Lucette, la sage femme que nous avons choisit pour nous accompagner dans ce moment intense afin de la prévenir de notre départ pour la maison de
naissance.


 


On en aura pas le temps entre quintes de toux et contractions
toutes les 2 minutes, je demande à ton papa de téléphoner pour dire que l’on prend la route car je sens bien que les choses vont de plus en plus vite.


 


4h30, l’auto est chargée des sacs préparés depuis avant les fêtes
en prévision de ta venue, nous partons moi avec ma boite de mouchoirs sous le bras, ton papa un brin stressé.


 


Les contractions dans la voiture me sont difficiles et j’ai de plus
en plus besoin de vocaliser la douleur, se qui termine de stresser ton papa, qui me communique son stress, pourvu que nous arrivions vite à la maison de naissance.


 


Et comme je le craignais, une fois de plus, on se trompe de sortie
sur l’autoroute, ce qui ajoutera 5 bonnes minutes au trajet.


On arrive enfin, après une vilaine contractions sur le trottoir
devant l’auto (en silence, je vais pas éveiller tout le quartier), ton papa étant déjà entrer, j’en profite pour te murmurer encore quelques mots doux, j’arrive enfin à rentrer dans la salle de
consultation de la maison de Lucette, il est 5h10, elle m’examine, je lui dis penser être seulement au début, elle me répond que non, le col est ouvert à 5 bons centimètres, on prend rapidement
le chemin de la chambre où tu vas voir le jour.


 


Le temps de me mettre à l’aise, de demander à ton papa de faire
quelques photos de nous avec toi encore dans mon ventre, à Lucette de me faire la pic d’antibiotique pour te protéger du streptocoque, les contractions me clouent à genoux au sol, ton papa et
notre sage-femme se relaient pour me masser les reins, 5h45 la dilatation est complète, la poche des eaux se rompt, le liquide est un peu teinté.


Lucette me rassure, normale vu la rapidité du travail, en moins de
trois heures nous avons vécu la totalité de la dilatation.


Je me sens un peu perdue émotionnellement : dois-je
pousser ?, je me sens si faible avec cette grippe, je pense ne pas en avoir la force, Lucette me rappelle que c’est la phase de désespérance, que ca va aller.


 


Nous écoutons ton petit cœur, qui bat bien en rythme, je suis
rassurée.


 


Je trouve la force de ne pas rester à genoux car j’ai maintenant
envie de pousser et de me mettre sur le tabouret d’accouchement et les choses deviennent difficiles, j’ai beau pousser de toutes mes forces, je n’arrive pas a contrôler ma respiration avec la
toux et le nez chargé, les poussées sont vraiment inefficaces, ma position pas bonne.


 


Ton papa me soutient et sa présence m’aide énormément mais je
n’arrive pas à te faire naitre, ce qui me met vraiment en colère contre moi-même, 30 minutes que je pousse et l’on ne voit pas encore tes cheveux.


Je te parle et t’encourage à descendre, on écoute ton petit cœur,
tout va bien.


 


Lucette nous propose de nous mettre sur le lit dans les bras de ton
papa afin qu’elle puisse m’aider mais je suis tellement épuisée que je n’en trouve pas la force, après encore deux contractions accompagnées de poussées peu efficaces par manque de souffle et une
nouvelle proposition de me mettre sur le lit, j’arrive enfin à y monter non sans une contraction en plein mouvement.


 


Une dizaine de minutes nous séparent de ta naissance, mais j’ai
l’impression de vivre un moment sans fin, entre la douleur des contractions, de la poussée qui est un peu plus efficace mais pas encore vraiment suffisante, je n’arrive toujours pas a
respirer.


La position sur le lit est un peu plus confortable je fais de mon
mieux pour te pousser vers la vie extérieure mais je ne me rends pas compte du temps passer et qu’il est maintenant nécessaire que tu arrive, les contractions sont moins rapprochées ou mes
poussées, je suis incapable de faire la différence, mais Lucette et ton papa m’encouragent et me pressent de plus en plus, je puisse au fond de moi l’énergie qu’il me reste pour te faire naitre
enfin je te sens descendre, on voit tes cheveux.


 


Lucette avec cette sagesse qu’on les sage femme qui font les
accouchements hors hôpitaux comprend qu’il faut me faire réagir encore plus et vite, que je suis épuisée et que les encouragements ne sont pas assez, que tu as besoin de naitre au plus vite,
c’est à ce moment qu’elle me dit préparer une injection d’ocytocine sachant je pense que cela va m’encourager par refus a donner le plus possible et qu’en cas de besoin l’injection est
prête.


 


Et l’effet est immédiat comme je suis farouchement opposée à
recevoir toutes hormones ou substances qui pourraient te nuire, je reprends le dessus intellectuellement et je te pousse à la vie aérienne de toutes mes forces en apnée et sans
contractions.


 


Comme le passage de ta tête et de tes épaules fut long et
fastidieux et que tu avais le cordon autour du cou, tu est grogie et bleutée, sur mon ventre Lucette et moi te stimulons, enfin tu respire une petite fois, puis une seconde, tu crachote, tu prend
un joli teint rose, il est 6h30 après presque trois quart d’heure d’efforts conjoints, pour toi il a fallu naitre, pour moi te donner le jour nous sommes tous trois avec ton papa en plein bonheur
en peau à peau sur le lit où tu es venue nous combler.


 


Ton papa a eu très peur lui qui t’a vu naitre, moi pas tous mes
sens étant totalement centrés sur la nécessité de te mettre au monde.


 


Le placenta, la bulle qui t’a fait grandir en moi sort rapidement,
il est bien beau et est encore relié à toi par ton cordon tout joli et bien costaux, ton papa le coupera car il a cessé de battre.


Ensuite afin de bien te réchauffer, papa va te baigner sans te
laver et Lucette va te mettre une petite chemise et te couvrir d’une couverture. Tu pèse 3550gr, tu es une très belle petite fille toute potelée.


 


Papa très ému s’occupera de toi avec tendresse et douceur, le temps
que Lucette me rafraichisse et me fasse une petite pic pour éviter que je perde trop de sang suite à cet accouchement ultra rapide et physiquement intense.


 


Afin de ne pas te faire souffrir, ta prise de sang sera faite sur
le cordon. On ne te fera aucuns gestes médicaux systématiques bien inutiles.


 


Les heures qui suivront, tu les passeras dans mes bras sous les
baisers de ton papa qui a prévenu toute la famille et les amis de ta naissance.


 


Début d’après midi, ta sœur qui n’est maintenant plus la cadette et
ta mamy Rose viendront te voir.


On en profite pour te mesurer, tu es grande 52cm et 39.5cm de
périmètre crânien.


 


Ta sœur aurait aimé assister à ta naissance mais avec la grippe qui
l’a clouée au lit, elle n’a pas eu la force de se lever à 4h00 pour venir avec ton papa et moi à la maison de naissance.


 


Nous avions prévu de rentrer tous ensemble à la maison le jour de
ta naissance mais avec cette fichue grippe je suis clouée au lit avec de la fièvre, nous passeront donc tous les trois notre première nuit ensemble là où tu a vu le jour.


 


Mercredi midi, lendemain de ta venue au jour, nous sommes rentrés à
la maison, nous avons pu te présenter le reste de ta famille, ils furent assez surpris que tu ne sois pas née dans une clinique comme la majorité des autres bébés.


Ta grande sœur, elle a fait ta connaissance seulement le vendredi
quand elle est rentrée de l’école, elle a eu la très grande surprise de te voir installée dans le canapé.


 


Malgré mon désir de ne pas te faire vivre d’actes médicaux. Lucette
a du te faire trois prises de sang aux pieds dans les jours suivants ta naissance car tu es née en période de grippes et de maladies hivernales 
(papy, ta sœur et moi étant malade) ce qui nous a contraint à te surveiller vu que tu avais de l’inflammation à la prise de sang de cordon. Mais tu es une battante et tu n’as pas le moindre signe
de maladies. A peine 4 jours après ta naissance tu avais déjà repris ton poids d’arrivée et sans ictère.


 


Lucette est venue pendant 6 jours nous voire et nous donner des
soins dans la chaleur de notre foyer, c’est avec un petit pincement au cœur que nous nous sommes dit au revoir après cette semaine de grande intimité et de relations
d’humanité.


 


Je remercie ton papa de nous avoir fait confiance pour cette
naissance différente malgré le stress que cela était pour lui et de t’avoir accueillie et moi soutenue avec tant d’émotions et de tendresse.


 


Petite Yseult, je te remercie de m’avoir permis de te donner le
jour dans la douceur et si naturellement, loin de l’hôpital où toutes deux nous aurions certainement vécus bien de choses agressives vu la façon dont les choses se sont
déroulées.


 
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16 mai 2008 5 16 /05 /mai /2008 10:05

Elle doit faire pour l'école des objets ayant chacun un but d'apprentissage.

Voici donc en images.

Le modèle roulant (période de fêtes, Père Noêl est au rendez-vous)

 

On a bossé avec du carton, du papier et surtout du tissus et du fils.
Les reines et décos sont brodés maison sur du lin.

Il roule pour de vrai, les roues sont cachées sous les patins.

Nous avons fait, il y a peu un robot articulé.

Malheureusement, il faudra attendre pour le voir, je retrouve plus la photo.

le prochain est en cours de réalisation, consigne il doit planer.

A suivre donc....

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